Autrefois, les funérailles étaient soumises à des obligations religieuses ou sociales. Aujourd’hui, nous voilà libres de les organiser selon notre volonté, mettant en scène notre façon de concevoir la mort, qu’elle soit un chemin vers l’avenir ou une récapitulation de la vie passée. Nos enterrements ont-ils perdu leur solennité et leur dignité, ou bien sont-ils libérés d’un carcan? Les funérailles nous renseignent-elles plus sur les vivants que nous sommes encore que sur les morts ?
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